Tarn. Roselyne Bachelot en visite sur les chantiers culturels
La ministre de la Culture, Roselyne Bachelot était en visite hier dans le Tarn. D'abord à Albi puis à Castres, elle a pu constater l'avancée des deux gros chantiers culturels du département.
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Publié : 8 février 2022 à 11h23 par Axel Mahrouga
D'Albi à Castres, la ministre de la Culture, Roselyne Bachelot était en déplacement dans le Tarn ce lundi 7 février 2022. Une visite commencée du côté de la ville rouge avec un passage au musée Toulouse-Lautrec. Le lieu, qui fête cette année ces 100 ans n'a pas manqué d'émerveiller la ministre qui s'est fendu d'un, « c'est magnifique », en pénétrant dans la cour d'honneur du Palais de la Berbie.
Un tour du bâtiment suivi ensuite d'un passage dans la cathédrale Saint-Cécile. Accompagné de ses guides du jour, la maire d'Albi Stéphanie Guiraud-Chaumeil, des députés des deux circonscriptions du nord du Tarn, Marie-Christine Verdier-Jouclas et Muriel Roques-Etienne ainsi que des vices présidentes de la Région et du Département, elle est venue constater les travaux à l'intérieur de l'édifice qui fait l'objet de nettoyage et de travaux de sécurisation incendies depuis plusieurs mois maintenant. « Il suffit de regarder une cathédrale pour voir à quel point c'est compliqué, la poussière vient s'installer dans les décors [...], elles sont un facteur de propagation des incendies, avec des câblages difficiles à vérifier de façon continue », réagit la ministre.
Passage éclair sur Castres
Direction ensuite Castres où les élus municipaux attendaient la ministre. Avant une nouvelle visite publique, Roselyne Bachelot et les élus des différentes collectivités ont fait un point sur les grands dossiers culturels de la région, notamment ceux du Tarn. « Une réunion très fructueuse dont je ressors avec beaucoup d'optimisme », commente la ministre. Une satisfaction notamment partagée par le maire de Castres, Pascal Bugis.
Avant de repartir, la ministre est passée rapidement, 25 minutes tout au plus, sur le chantier de rénovation du musée Goya. L'occasion pour elle de rappeler que « l'État a apporté une subvention plus que substantielle de 2 millions d'euros pour ces travaux », qui au total, vont coûter la bagatelle de 8,5 millions d'euros. Le reste de la facture sera pris en charge par la mairie, la région et le département.